Dans le BTP, l’industrie, la mode… de plus en plus d’entreprises peinent à trouver des ressources primaires pour répondre à leurs besoins.
Une situation d’autant plus préjudiciable que la demande des clients est toujours aussi forte : faute de pouvoir produire comme elles le souhaiteraient, elles se privent de belles opportunités de croissance.
La solution ? Opter pour des matières premières secondaires (recyclées). Autrefois considérées comme des déchets, elles sont désormais valorisées par des technologies innovantes pour créer de multiples produits.
Reste un défi de taille : garantir un flux stable d’approvisionnement, afin de sécuriser ce marché en pleine expansion.
D’où l’intérêt de la marketplace Cyrkl ! Cette start-up spécialisée dans l’économie circulaire des déchets permet d’identifier et de mettre en place rapidement de nouvelles chaînes d’approvisionnement.
Sa force : une parfaite connaissance du marché et de ses différentes parties prenantes, y compris les producteurs de déchets.
Zoom sur deux exemples d’entreprises qui utilisent Cyrkl pour s’approvisionner durablement.
“Grâce à toutes les entreprises qui s’engagent en faveur de la planète grâce à l’approvisionnement durable, nous pouvons contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et limiter notre impact sur l’environnement.”
Trouver vite et bien tous types de matériaux
Après s’être inscrites gratuitement sur Cyrkl, les entreprises accèdent à une marketplace facile à utiliser et à un excellent service client.
Avec une vraie garantie de sécurité : tous les partenaires sont vérifiés par les équipes locales.
Grâce à de puissants algorithmes de matchmaking, quelques minutes suffisent pour trouver la bonne ressource. Mieux : les échanges entre entreprises sont effectués directement, sans intermédiaires, ce qui facilite la création de partenariats commerciaux.
Opter pour l’économie circulaire n’a jamais été aussi simple !
Deux exemples inspirants et inspirés d’approvisionnement durable
Saint Lazare, une start-up française engagée
“Plutôt que d’incinérer les anciens uniformes militaires inutilisables, trop vieux et trop usés, Saint Lazare les récupère pour les transformer en accessoires de maroquinerie originaux.”
Capucine Thiriez, la fondatrice de Saint Lazare, a fait le choix de l’upcycling pour donner une seconde vie à des matières surprenantes destinées à être jetées (toile, feutre ou autre).
Sa start-up fabrique des accessoires et objets, qualitatifs et esthétiques, entièrement made in France à partir de matières locales.
Elle explore toutes les alternatives au cuir pour créer des pièces utiles et intemporelles, qui ont toujours une belle histoire à raconter : des sacs à dos, des portefeuilles, des pochettes d’ordinateurs, des ceintures ou encore des bijoux, aussi bien pour femmes que pour hommes.
Ce choix de positionnement élégant et durable se corrèle aux enjeux environnementaux qui s’imposent à Cyrkl : réutilisation de matières, circuits courts, favorisation de l’économie locale.
En quelques clics, via la marketplace, Capucine a pu trouver des uniformes italiens voués à l’incinération afin de les réinterpréter. Ils se retrouvent aujourd’hui dans certains accessoires de sa marque haut de gamme.
L’usine automobile Forvia de Hlohovec réduit ses déchets et ses coûts financiers
L’usine Forvia, implantée à Hlohovec depuis 2005, se concentre sur la production de pièces en plastique utilisant la technologie du moulage par injection pour l’industrie automobile – principalement des tableaux de bord, des consoles centrales, des panneaux de porte, des casiers de rangement, ainsi que des éléments décoratifs intérieurs – leurs différents traitements de surface et l’assemblage ultérieur.
L’usine fait partie du groupe Forvia, l’un des plus grands fournisseurs de l’industrie automobile. Et elle s’est fixée des objectifs ambitieux en matière de développement durable.
Elle s’est donc tournée vers les experts en déchets de Cyrkl, la marketplace des déchets qui met en relation les producteurs de déchets avec des recycleurs ou d’autres entreprises susceptibles d’en faire un usage ultérieur.
L’usine Forvia de Hlohovec produisait 10 tonnes de déchets de PVC par mois, issus de la production de couvercles de tableaux de bord, qui étaient directement mis en décharge.
L’usine est alors passée à une méthode plus écologique de récupération de ces déchets de PVC, ce qui lui permet de réaliser un gain financier de 7 000 euros par mois.
“L’utilisation et les possibilités de la marketplace m’ont ouvert les yeux et révélé le potentiel caché des déchets. Je ne considère plus les déchets et leur gestion comme un coût nécessaire, mais comme une source de revenus pour la société.”
Pavol Varačka, directeur HSE de l’usine Faurecia Interior Systems – Hlohovec