jeu. Nov 6th, 2025

 

La Première Brique poursuit sa mission de démocratiser l’investissement immobilier, y compris en Île-de-France. La plateforme 100 % digitale de financement participatif continue de susciter l’intérêt des investisseurs particuliers autour de projets à fort ancrage local. Les petits épargnants franciliens sont notamment attirés par des projets concrets de rénovation et de réhabilitation du patrimoine existant jusqu’alors hors de leur portée.

 

À Paris, la dynamique du crowdfunding immobilier

 

Dans un contexte de ralentissement du marché immobilier, La Première Brique confirme la

vitalité du financement participatif en Île-de-France. Les montants financés pour les projets dans la région représentent ainsi près de 14 % du montant global financé toutes régions confondues.

 

Depuis sa création, 98 projets ont été financés par La Première Brique en Île-de-France, pour un total de 72,9 millions d’euros collectés. Les investisseurs ont ainsi perçu près de 3 841 670 euros d’intérêts, soit un rendement moyen de 11,03 %.

 

La plateforme favorise le financement de projets à taille humaine, souvent portés par des

acteurs locaux, et contribue ainsi à la réhabilitation du parc ancien dans des villes attractives comme Lyon, Toulon, Marseille, Nice, etc.

 

Casser les barrières de l’immobilier parisien

 

En Île-de-France, le projet La Pierreuse illustre bien cette démocratisation de l’investissement immobilier grâce au financement participatif. La rénovation d’un T2 dans le deuxième arrondissement de la capitale puis sa vente permettent de dégager une marge de 100 000 euros. Pour les 505 investisseurs particuliers du projet, c’est un rendement annuel de 11,25 % brut. Et dans un marché où les prix au m2 sont de 11 017 € en moyenne, c’est aussi une ouverture du marché de l’immobilier de luxe aux particuliers. Pour ce projet, le panier moyen est de 318 euros.

 

À travers ses opérations, La Première Brique popularise l’investissement immobilier encore cantonné à une image élitiste (private equity). Elle soutient aussi activement la transformation du tissu immobilier local. Au total, les investisseurs particuliers de La Première Brique ont participé à 751 projets pour plus de 316 millions d’euros financés à l’échelle nationale. Un succès qui témoigne de la confiance grandissante des porteurs de projets dans les solutions de financement alternatives, en particulier dans les régions où le besoin de rénovation est fort.

 

« Paris est un bon exemple de la force de notre communauté à populariser un investissement immobilier d’ampleur. Valoriser le patrimoine haussmannien donne du sens à l’épargne car les projets de rénovation s’inscrivent dans une approche à la fois responsable, durable et performante », souligne Hugo Berthe, co-fondateur de La Première Brique

 

“Le Ténor” à Paris (IIe arr.), un projet pour démocratiser l’immobilier d’entreprise

 

Au 43 avenue de l’Opéra, Le Ténor est le dernier projet emblématique de La Première Brique. Ce financement relais (bridge) concerne la rénovation d’un ensemble de bureaux prestigieux du quartier central des affaires (QCA) de la capitale.

 

L’opération sera ouverte au financement participatif dès le 6 novembre 2025 pour un montant de 2 700 000 euros. L’objectif est de soutenir le développement de la société Gustave Collection Palais Garnier et d’accompagner le lancement d’un concept innovant de « Haute Couture Office » – soit la transformation de bureaux classiques en espaces d’exception, inspirés de l’hôtellerie de luxe.

 

Le Ténor permet aux particuliers d’investir dans un actif habituellement réservé aux initiés de l’immobilier professionnel. Une opération qui reflète la philosophie de La Première Brique : rendre accessible le patrimoine français.

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