78 % pensent que le no-code est une excellente solution pour leur business
Pour 63 % des entreprises le métier de développeur n’est pas en danger avec le no-code
Ksaar, acteur français majeur de la création de logiciel no-code, dévoile les résultats d’une enquête menée auprès de 4 263 entreprises françaises (indépendants, TPE, PME, ETI et GE) afin de mieux connaître leur opinion sur l’utilisation d’applications et de logiciels métiers génériques ou en no-code.
Lien officiel : www.ksaar.com
Un fort besoin de spécificités
Les logiciels ou applications prêts à l’emploi sont bien loin de faire l’unanimité auprès des entreprises françaises. En effet, plus de 81 % avouent qu’elles auraient besoin de solutions personnalisées pour coller parfaitement à leur activité. Seulement 17 % considèrent que les applications existantes suffisent largement.
Oui au no-code !
L’avènement des solutions no-code semble être une solution de plus en plus séduisante pour les entreprises. Ainsi, 78 % déclarent que l’utilisation d’applications sans connaissances de la programmation est une excellente solution pour leur activité. De leur côté, 11 % estiment que le no-code ne peut pas être efficace pour leur business et 9 % éprouvent des difficultés à se projeter.
Que pensez-vous de la création d’outils ou d’applications en no-code, c’est-à-dire avec un mode de développement sans connaissances de la programmation avec des fonctionnalités préconstruites ? |
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Réponses |
Pourcentages |
C’est une excellente solution pour mon activité |
78 % |
Cela me semble difficile pour mon activité |
9 % |
Je ne pense pas que cela soit efficace pour mon activité |
11 % |
Je ne sais pas |
2 % |
Des applications no-code trop simples ?
Pour ce qui est de la possibilité de réaliser des applications complexes avec un outil no-code, les avis sont plus partagés. En effet, si 38 % des entreprises françaises pensent que cela est tout-à-fait possible, 35 % estiment que la complexité est limitée et 27 % que cela n’est pas encore envisageable.
Selon vous, est-il possible de réaliser des applications complexes avec un outil no-code ? |
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Réponses |
Pourcentages |
Oui, absolument |
38 % |
Oui mais avec certaines limites |
35 % |
Non ce n’est pas encore possible |
27 % |
Classement TOP et FLOP du no-code
Parmi tous les atouts du no-code susceptibles de séduire les entreprises, trois arrivent clairement en tête : 63 % aiment la simplicité de développement, 59 % les coûts de développement beaucoup plus faibles et 57 % la possibilité de personnaliser la programmation.
Quels sont les 3 atouts qui vous séduisent le plus dans le no-code ? |
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Réponses |
Pourcentages |
La simplicité de développement |
63 % |
La réduction des coûts de développement |
59 % |
La personnalisation du développement |
57 % |
La rapidité de développement |
53 % |
L’interopérabilité avec d’autres outils et solutions |
51 % |
La maîtrise du développement |
48 % |
L’évolutivité des applications |
41 % |
La gestion en mode open-source |
36 % |
La communauté |
24 % |
En ce qui concerne les aspects négatifs du no-code, ce sont les limites liées à l’hébergement, la sécurité et la confidentialité qui gênent en premier lieu 68 % des entreprises. A la deuxième place des freins, 61 % pointent du doigt les limites de fonctionnalités proposées, puis en troisième lieu les limites de personnalisation à plus de 58 %.
Quels sont les 3 facteurs qui vous freinent le plus dans le no-code ? |
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Réponses |
Pourcentages |
Les limites liées à l’hébergement, la sécurité et la confidentialité |
68 % |
Les limites de fonctionnalités |
61 % |
Les limites de personnalisation |
58 % |
L’absence de solutions no-code connues |
56 % |
Les limites de développement |
48 % |
Le manque de collaboration |
41 % |
La dépendance d’un outil éditeur non-propriétaire |
37 % |
Le manque de preuve des outils |
35 % |
Le manque de versionning |
31 % |
Le manque d’interopérabilité avec d’autres outils et solutions |
30 % |
La communauté |
29 % |
Les développeurs en danger ?
Bien loin d’être une espèce en voie de disparItion, les développeurs informatiques ont encore de beaux jours devant eux ! En effet, à la question « pensez-vous qu’avec le no-code, le métier de développeur va disparaître dans les prochaines années ? », 63 % des entreprises interrogées répondent « non » et 23 % « oui, mais qu’ils seront utiles pour coder des applications plus complexes. Seulement 11 % pensent que le succès du no-code est préjudiciable à l’avenir des développeurs.
Pensez-vous qu’avec le no-code, le métier de développeur va disparaître dans les prochaines années ? |
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Réponses |
Pourcentages |
Non, ils seront toujours utiles pour combler les lacunes du no-code |
63 % |
Oui, mais ils seront utiles pour coder des applications plus complexes |
23 % |
Oui, ils ne seront plus utiles pour le codage |
11 % |
Des logiciels sur étagère peu performants
Si une grande majorité des entreprises utilise aujourd’hui des logiciels et des applications non personnalisés, la satisfaction n’est pas vraiment au rendez-vous. Ainsi, seulement 26 % déclarent que ces outils clés en main sont parfaits quand 36 % les trouvent encore perfectibles et 38 % totalement imparfaits.
Êtes-vous satisfaits des logiciels que vous utilisez pour votre activité ? Sont-ils assez personnalisés ? Sont-ils assez puissants ? |
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Réponses |
Pourcentages |
Oui, ils sont parfaits |
26 % |
Oui, mais ils ne sont pas parfaits |
36 % |
Non, ils sont imparfaits |
38 % |
*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 4 263 professionnels, âgés de 18 ans et plus, répartis sur l’ensemble du territoire français, effectuée en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France (27 000 personnes en France).
Entre le 3 et le 10 janvier 2023, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn.
Profils des personnes interrogées : 39 % d’employés, 38 % de managers et 23 % de dirigeants.
Profils des entreprises : 3 % d’indépendants, 27 % de TPE, 68 % au sein de PME et 2 % au sein d’ETI et GE.
Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l’échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée.
Toutes les pondérations s’appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.