mar. Déc 3rd, 2024

Paris, France – le 25 novembre 2022. Alors que commerce international est chaque jour questionné, alors que le protectionnisme s’impose dans de nombreux pays, la FinTech iBanFirst, qui accompagne les entreprises faisant des paiements à l’international, a décidé de donner la parole aux européens. 

Ce 25 novembre sont publiés les résultats du « 1er baromètre iBanFirst sur les européens et le commerce international » dans 5 pays, avec l’institut BVA.

 

Cette étude menée auprès de 5 000 citoyens, aborde sans tabous les avantages perçus comme les défis du commerce international. L’étude révèle notamment que les européens voient dans le commerce un levier essentiel pour lutter contre la vie chère. Le rôle de paix est par ailleurs fortement associé au commerce international. Un libre-échange qui doit cependant, selon les européens et les Français, se réinventer pour répondre aux défis d’indépendance, d’équité et de sobriété. 

 

Dans les détails : 

  • En ces temps de forte inflation, le commerce international est perçu comme un atout pour le pouvoir d’achat : 
  • 76% des Français estiment que grâce au commerce international, les consommateurs bénéficient de prix plus attractifs
  • Par ailleurs, 74% pensent que grâce au commerce international, les entreprises peuvent baisser les coûts de production et trouver de nouveaux marchés 
  • Pour les Français, le commerce est un instrument de paix 
  • 78% des Français estiment que grâce au commerce international les pays créent des liens renforcés d’interdépendance et d’échanges 
  • 72% des Français pensent que le libre commerce au sein de l’union européenne favorise la paix entre les pays
  • 63% des Français jugent que le protectionnisme accroit le risque de conflits entre les pays
  • Mais le commerce international doit aussi se réinventer et répondre à des défis majeurs 
  • Le défi de l’interdépendance 
  • 72% des Français jugent que la France devrait davantage exporter ses produits et services à l’étranger
  • 79% des Français jugent que leur pays est trop dépendant des pays étrangers pour ses matières premières, son énergie et se produits vitaux
  • Le défi de l’équité
  • 69% des Français jugent que le libre commerce profite aux plus riches au détriment des plus pauvres 
  • 51% des Français pensent que les salariés sont plutôt perdants dans une économie ouverte 
  • Enfin, les Français interrogés par l’enquête iBanFirst se déclarent favorables au maintien du commerce…. mais pas avec tout le monde 
  • 15% des Français seulement souhaitent que leur pays réduise les échanges avec les autres pays de l’union Européenne
  • 62% des Français en revanche souhaitent que leur pays réduise les échanges avec les pays du Golfe. Ce chiffre monte à 63% concernant la Chine.

 

Pour le fondateur d’iBanFirst, Pierre-Antoine Dusoulier, « en tant qu’acteur majeur du paiement à l’international, il nous a semblé important de prendre la parole alors que le protectionnisme ne cesse de gagner les esprits. Cette enquête révèle un rapport des européens à la fois positif et exigeant vis-à-vis du commerce international. Le commerce doit se réinventer pour répondre aux défis de sobriété et d’égalité. Mais, comme les européens le réaffirment aussi, il est essentiel de ne pas casser les liens d’interdépendance et les fils qui nous unissent au-delà des frontières. C’est par le commerce que les pères de l’Europe ont construit un continent de paix. Et nous savons à désormais quel point cette dernière est fragile. »

 

S’appuyant sur les résultats de cette étude, iBanFirst a décidé de lancer une campagne de sensibilisation européenne intitulée : « make trade not war » visible dans les médias et en digital. 

 

***

À propos d’iBanFirst
 

iBanFirst est un fournisseur mondial de services financiers qui propose des solutions au-delà des frontières bancaires. En tant qu’alternative à l’offre bancaire traditionnelle, iBanFirst aide les PME internationales à prospérer tout en simplifiant leurs opérations quotidiennes. Pour ce faire, iBanFirst a développé une plateforme core banking de pointe permettant des transactions multidevises rapides, sécurisées et rentables. Grâce à iBanFirst, les équipes financières peuvent effectuer et recevoir des paiements dans plus de 30 devises et couvrir les risques de change. Fondée à Paris en 2016, iBanFirst est une société dont le siège social est situé en Belgique. Elle est régulée en tant qu’établissement de paiement habilité à exercer dans toute l’Union européenne, et sert des milliers de clients dans toute l’Europe. Membre du réseau SWIFT et homologuée SEPA, iBanFirst détient les accréditations AISP et PISP dans le cadre de la DSP2. La société a levé 46 millions d’euros auprès de Xavier Niel et de grands fonds de capital-risque européens, tels qu’Elaia et Bpifrance Large Venture, entre autres. En mai 2021, iBanFirst a réalisé un tour de table de croissance avec la société de capital-investissement Marlin Equity Partners, basée à Los Angeles.

Paris, France – le 25 novembre 2022. Alors que commerce international est chaque jour questionné, alors que le protectionnisme s’impose dans de nombreux pays, la FinTech iBanFirst, qui accompagne les entreprises faisant des paiements à l’international, a décidé de donner la parole aux européens. 

Ce 25 novembre sont publiés les résultats du « 1er baromètre iBanFirst sur les européens et le commerce international » dans 5 pays, avec l’institut BVA.

 

Cette étude menée auprès de 5 000 citoyens, aborde sans tabous les avantages perçus comme les défis du commerce international. L’étude révèle notamment que les européens voient dans le commerce un levier essentiel pour lutter contre la vie chère. Le rôle de paix est par ailleurs fortement associé au commerce international. Un libre-échange qui doit cependant, selon les européens et les Français, se réinventer pour répondre aux défis d’indépendance, d’équité et de sobriété. 

 

Dans les détails : 

  • En ces temps de forte inflation, le commerce international est perçu comme un atout pour le pouvoir d’achat : 
  • 76% des Français estiment que grâce au commerce international, les consommateurs bénéficient de prix plus attractifs
  • Par ailleurs, 74% pensent que grâce au commerce international, les entreprises peuvent baisser les coûts de production et trouver de nouveaux marchés 
  • Pour les Français, le commerce est un instrument de paix 
  • 78% des Français estiment que grâce au commerce international les pays créent des liens renforcés d’interdépendance et d’échanges 
  • 72% des Français pensent que le libre commerce au sein de l’union européenne favorise la paix entre les pays
  • 63% des Français jugent que le protectionnisme accroit le risque de conflits entre les pays
  • Mais le commerce international doit aussi se réinventer et répondre à des défis majeurs 
  • Le défi de l’interdépendance 
  • 72% des Français jugent que la France devrait davantage exporter ses produits et services à l’étranger
  • 79% des Français jugent que leur pays est trop dépendant des pays étrangers pour ses matières premières, son énergie et se produits vitaux
  • Le défi de l’équité
  • 69% des Français jugent que le libre commerce profite aux plus riches au détriment des plus pauvres 
  • 51% des Français pensent que les salariés sont plutôt perdants dans une économie ouverte 
  • Enfin, les Français interrogés par l’enquête iBanFirst se déclarent favorables au maintien du commerce…. mais pas avec tout le monde 
  • 15% des Français seulement souhaitent que leur pays réduise les échanges avec les autres pays de l’union Européenne
  • 62% des Français en revanche souhaitent que leur pays réduise les échanges avec les pays du Golfe. Ce chiffre monte à 63% concernant la Chine.

 

Pour le fondateur d’iBanFirst, Pierre-Antoine Dusoulier, « en tant qu’acteur majeur du paiement à l’international, il nous a semblé important de prendre la parole alors que le protectionnisme ne cesse de gagner les esprits. Cette enquête révèle un rapport des européens à la fois positif et exigeant vis-à-vis du commerce international. Le commerce doit se réinventer pour répondre aux défis de sobriété et d’égalité. Mais, comme les européens le réaffirment aussi, il est essentiel de ne pas casser les liens d’interdépendance et les fils qui nous unissent au-delà des frontières. C’est par le commerce que les pères de l’Europe ont construit un continent de paix. Et nous savons à désormais quel point cette dernière est fragile. »

 

S’appuyant sur les résultats de cette étude, iBanFirst a décidé de lancer une campagne de sensibilisation européenne intitulée : « make trade not war » visible dans les médias et en digital. 

 

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À propos d’iBanFirst
 

iBanFirst est un fournisseur mondial de services financiers qui propose des solutions au-delà des frontières bancaires. En tant qu’alternative à l’offre bancaire traditionnelle, iBanFirst aide les PME internationales à prospérer tout en simplifiant leurs opérations quotidiennes. Pour ce faire, iBanFirst a développé une plateforme core banking de pointe permettant des transactions multidevises rapides, sécurisées et rentables. Grâce à iBanFirst, les équipes financières peuvent effectuer et recevoir des paiements dans plus de 30 devises et couvrir les risques de change. Fondée à Paris en 2016, iBanFirst est une société dont le siège social est situé en Belgique. Elle est régulée en tant qu’établissement de paiement habilité à exercer dans toute l’Union européenne, et sert des milliers de clients dans toute l’Europe. Membre du réseau SWIFT et homologuée SEPA, iBanFirst détient les accréditations AISP et PISP dans le cadre de la DSP2. La société a levé 46 millions d’euros auprès de Xavier Niel et de grands fonds de capital-risque européens, tels qu’Elaia et Bpifrance Large Venture, entre autres. En mai 2021, iBanFirst a réalisé un tour de table de croissance avec la société de capital-investissement Marlin Equity Partners, basée à Los Angeles.

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