PARIS, 12 février 2025 /PRNewswire/ — À l’heure où la France vient d’accueillir le sommet mondial pour l’action sur l’Intelligence Artificielle, Artprice by Artmarket, qui est depuis 28 ans le Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art, dévoile son schéma directeur 2025-2029 et les premières réussites concrètes de son IA Intuitive Artmarket®, confirmant sa place de Leader mondial en IA de l’information sur le Marché de l’Art. Artprice by Artmarket.com est cotée sur le marché réglementé Euronext Paris.
![AI Action Summit AI Action Summit](https://ci3.googleusercontent.com/meips/ADKq_NZyWIdwFzGPjZYriPXtioi67w-HXl_h34HULTw-6I1WzLyVtTFNunsdFk7Id49nMqvxOLsBGzfFU4U8tj2s5spDdPIz15YmI8CnUgn84vIesYO3=s0-d-e1-ft#https://mma.prnewswire.com/media/2617848/AI_Action_Summit.jpg)
Les 10 et 11 février 2025, la France a reçu près de 100 pays dans le cadre du Sommet mondial pour l’action sur l’intelligence artificielle – AI Action Summit – réunissant au Grand Palais, des chefs d’État et de gouvernements, dirigeants d’organisations internationales, de petites et grandes entreprises, représentants du monde universitaire, chercheurs, organisations non-gouvernementales, artistes et autres membres de la société civile.
Plus largement, dès le 6 février, de nombreux évènements furent organisés dans le cadre de la semaine pour l’action sur l’IA.
Telle est son ambition affirmée, souhaitant voir la France devenir « le numéro 3 mondial », derrière les États-Unis et la Chine – au terme du Sommet pour l’action sur l’IA à Paris, co-présidé avec l’Inde, en présence de son Premier ministre Narendra Modi. Le sommet a réuni près de 100 pays, des leaders d’organisations internationales, des chercheurs et des représentants de la société civile pour définir les bases d’une gouvernance mondiale de l’IA.
Parmi eux, étaient présents : Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres ; le Vice-Président américain, J.D. Vance, qui a fait carrière dans la Silicon Valley ; Le Vice-Premier ministre chinois Ding Xuexiang ; la présidente de la Commission Européenne, Ursula von der Leyen ; le Chancelier allemand, Olaf Scholz ainsi que le président des Émirats Arabes Unis, Mohamed Bin Zayed Al-Nahyan.
Ce sommet a pu également compter sur la présence de représentant(e)s d’organisations internationales tels que Ngozi Okonjo-Iweala , Directrice Générale de l’OMC ; Mathias Corman, Secrétaire Général de l’OCDE ; Fatih Birol, Directeur de l’Agence internationale de l’énergie ; Moussa Faki, Président de la Commission de l’Union africaine ; ainsi que de nombreux dirigeants d’entreprises technologiques tels que Sam Altman, PDG d’OpenAI ; Sundar Pichai, PDG de Google ; Arthur Mensch, PDG de Mistral AI ; Xavier Niel, Fondateur du groupe Iliad ; Demis Hassabis, Directeur de Google DeepMind ; Brad Smith, président de Microsoft …
Il y a eu de plus de très nombreux scientifiques et experts commeYann Le Cun, pionnier de l’IA et Directeur scientifique chez Meta ; Joëlle Barral, Chercheuse chez Google DeepMind ; Michael Jordan, Professeur à l’université de Berkeley … Des Prix Nobel comme Geoffrey Hinton, considéré comme l’un des “pères” de l’intelligence artificielle moderne ; Maria Ressa, journaliste et lauréate du Nobel de la paix ; Joseph Stiglitz, économiste.
Actualités et perspectives 2025 :
Artprice by Artmarket a franchi une nouvelle étape le 09 janvier 2025, avec la réussite de son IA Intuitive Artmarket® et devient le Leader mondial en IA de l’information sur le Marché de l’Art
Artprice by Artmarket a commencé à déployer à la fin 2024, au cœur de ses abonnements haut de gamme, des données qui ont fait l’objet d’un apprentissage par son IA Intuitive Artmarket® et ses algorithmes.
Cette étape ayant été validée avec succès, Artprice a donc déployé officiellement, le 09 janvier 2025, la nouvelle version de ses abonnements Premium, qui contiennent ses données enrichies grâce à son IA Intuitive Artmarket®, et se positionnent, avec un mois de recul, comme les abonnements annuels de prédilection, avec ses segments haut de gamme.
Cette évolution spectaculaire démontre, d’une part, que les 9,3 millions de clients et membres d’Artprice by Artmarket ont parfaitement intégré la culture de l’IA au cœur de ses banques de données et mutent vers les abonnements premium incluant l’IA Intuitive Artmarket® avec un impact sur la croissance du chiffre d’affaires récurrent (ARR). Artprice va ainsi décupler, au cours des prochaines années, ses recherches et résultats à un niveau jamais atteint dans le Marché de l’Art pour ses clients et membres et proposer de nouveaux services et produits.
Artprice s’est emparée d’une étude en secteur tertiaire, dont les chiffres ont été publiés par Les Échos/Solutions, citant DOMO Inc. : un indice important selon les méthodologies d’Artprice qui permet de scorer l’aptitude d’une société à intégrer l’IA dans ses process est le traitement de données/seconde par salarié.
La moyenne s’établit à une génération de 1,7Mo de données/seconde.
Après un audit IT de Mazars, Artprice by Artmarket a pu constater par elle-même que chacun(e) de ses collaborateurs(rices) génère 35Mo/seconde, soit 21 fois plus que la moyenne européenne, ce qui est parfaitement cohérent au regard du Core Business d’Artprice de grand éditeur mondial de banques de données professionnelles et d’algorithmes propriétaires et Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art.
Artprice effectue une veille sur les big five de l’audit et du conseil quant à leur position sur l’IA, qui est « le sujet majeur » comme Accenture et NVIDIA qui ont annoncé une alliance regroupée sous le nom d’Accenture Nvidia Business Group, pour faire entrer les entreprises dans l’ère de l’IA.
Arnaud Naudan, Président de BDO France réagit sur Ecorama : « Un des deux enjeux majeurs pour nos clients, c’est l’intelligence artificielle ». Deloitte, 1er des big five, a créé AI Institute « pour rassembler les esprits les plus brillants dans le domaine de l’IA ». Pour KPMG : « Les trois quarts des CEO français considèrent que leur équipe dirigeante est consciente des bénéfices de l’Intelligence Artificielle Générative pour renforcer la compétitivité de leur entreprise (Étude CEO Outlook).
Cette révolution culturelle amène de nouveaux éléments de langage alors que le process et l’outil qu’est l’Intelligence Artificielle est déjà scientifiquement au cœur d’Artprice by Artmarket. Les clients et partenaires d’Artprice, par cette nouvelle sémantique, découvrent les richesses inexplorées d’Artprice, à savoir des données d’une puissance qu’ils n’imaginaient même pas et qui correspondent exactement à leurs besoins.
De plus, Artprice by Artmarket a obtenu deux fois consécutivement le label étatique « Entreprise Innovante » (fait rare pour les entreprises cotées sur un marché réglementé), décerné par la Banque Publique d’Investissement (BPI) et poursuit ses ambitions dans ce sens.
Artprice by Artmarket.com, forte de l’expérience de sa maison-mère Groupe Serveur – pionnier de l’Internet en Europe, des banques de données juridiques, des premières images de synthèse depuis 1987 – a développé au cours de ces décennies des milliers d’algorithmes propriétaires de plus en plus puissants et pertinents avec plus de 180 banques de données qui lui permettent la mise en place de sa propre IA Intuitive Artmarket®, dans le strict respect des différentes législations, notamment sur les données personnelles et la propriété intellectuelle.
Cela n’a été possible que par le rachat ciblé par Groupe Serveur, puis par Artprice, de sociétés innovantes comme par exemple Xylogic, société suisse composée exclusivement de scientifiques prestigieux (en provenance du CERN, de l’OMS… ) dès 1999, qui avaient un temps d’avance considérable sur leur temps et qui annonçaient déjà les solides prémices et fondamentaux de l’Intelligence Artificielle (voir document de référence Artmarket.com).
Dans le monde feutré des grands éditeurs mondiaux de banques de données professionnelles dont Artprice fait partie, il est vital pour le développement à long terme des industries, d’intégrer des IA propriétaires dans les Core business. C’est pour cela qu’Artprice by Armarket a pris un temps d’avance très conséquent depuis 1999 et fait de 2025/2029, la période clé du démarrage commercial de son IA Intuitive Artmarket® qui est une IA/AI algorithmique propriétaire.
Selon Thierry Ehrmann, Fondateur d’Artprice et Président d’Artmarket.com – biographie officielle certifiée Who’s Who In France : https://imgpublic.artprice.
« Les algorithmes d’Artprice by Artmarket sont capables, de par des centaines de millions de logs propriétaires anonymisés, de textes, de dizaines de millions d’œuvres d’Art des banques de données Artprice, d’identifier des sémantiques nouvelles qui qualifient la démarche première d’un artiste, son univers, ses inspirations, les mediums utilisés, ses thèmes, ses formes et volumes, etc. ».
Ces précieuses données forment une syntonie, en se rapprochant des 861 000 artistes référencés avec leurs biographies et data certifiées, au-delà des critères visuels académiques classiques, grâce aux réseaux de neurones de l’IA Intuitive Artmarket®.
L’IA Intuitive Artmarket® peut déjà calculer notamment la construction du prix à partir de la traçabilité d’une œuvre d’art, avec ses résultats d’adjudication espacés dans le temps, par la méthode des ventes répétées propre à Artprice, mais est aussi capable d’anticiper les fluctuations futures de cette œuvre unique.
Elle permet par ailleurs de déceler des courants artistiques transversaux d’une extrême complexité qui échappent en grande partie aux mondes académique, institutionnel, universitaire et marchand.
À ce titre, une étude poussée de notoriété spontanée a été préparée en amont pour mesurer de manière très précise l’empreinte d’Artprice dans ce monde de l’Art et de l’histoire de l’Art.
En effet, celle-ci a pu être menée durant le CIHA Lyon 2024 – France – 36ème congrès mondial consacré à la recherche en Histoire de l’Art avec plus de 70 pays et 1000 intervenants, où Artprice fut mécène engagé de ces olympiades de l’histoire de l’Art qui se tiennent tous les 4 ans dans une mégapole du monde depuis 1873.
Artprice, dans cette étude de 2024, se classe comme le Top of Mind des banques de données sur le Marché de l’Art.
Artprice by Artmarket, après ces mois de préparation, a pu ainsi être présente durant l’intégralité du congrès, à travers ses conférences, sa présence au salon du livre et la soirée spéciale tenue à son siège social mondial situé au cœur du Musée d’Art Contemporain L’Organe gérant La Demeure du Chaos / Abode of Chaos (dixit NYT).
En complément de la notoriété spontanée, Artprice a également étudié la notoriété qualifiée.
Cette étude très qualitative a bénéficié de deux facteurs exceptionnels, d’une part, en interrogeant physiquement des congressistes venus de 70 pays, évitant ainsi les questionnaires en ligne ou par téléphone, générant une absence de pertinence et de vérification. D’autre part, Artprice a pu échanger directement avec ces congressistes inscrits et certifiés, référencés avec leur profession, spécialité, qualité/titre, diplôme et institutions/universités.
La question posée était : « Quelles sont les banques de données sur le Marché de l’Art que vous connaissez ? »
Sur 378 congressistes interrogés, 325 ont cité en première intention Artprice soit 86 %, la plaçant en « Top of mind » des banques de données sur le Marché de l’Art.
La notoriété « Top of mind » est le pourcentage de personnes qui identifient une marque ou un produit ou service en première intention. Il s’agit à la fois d’une réponse spontanée et de la première de leurs réponses.
Pour en revenir aux algorithmes de l’IA Intuitive Artmarket®, ils peuvent aider les galeries d’art et les Maisons de Ventes aux enchères à fixer des prix optimaux pour les œuvres d’art en fonction de divers facteurs comme la demande, la rareté, ou encore la notoriété de l’artiste. En résumé, l’intelligence artificielle Intuitive Artmarket ® offre un potentiel significatif pour révolutionner le Marché de l’Art en améliorant l’accès à l’information, en personnalisant l’expérience des acheteurs, en luttant contre la contrefaçon et en ouvrant de nouvelles perspectives créatives.
L’IA Intuitive Artmarket® est active exclusivement sur un périmètre quasi-infini de contenus propriétaires, donc protégés au titre de la propriété intellectuelle et permet ainsi de s’affranchir d’obstacles et de potentielles interdictions. Elle n’a donc nul besoin d’aller chercher autre part les données et réponses aux requêtes très pointues des utilisateurs du Marché de l’Art.
C’est donc un gage de pérennité, mais aussi d’accroissement considérable des performances pour Artprice by Artmarket.com, avec une progression constante dans le temps du chiffre d’affaires par des abonnements à haute valeur ajoutée.
Thierry Ehrmann, CEO d’Artprice by Artmarket :
« Ces deux dernières décennies ont été nécessaires à Artprice pour enregistrer, observer et induire des centaines de millions de comportements humains anonymisés face au Marché de l’Art qui est, par nature, d’une infinie complexité par le simple fait qu’une œuvre d’art est hétérogène, singulière et que d’autre part, la notion abstraite de beauté est aux confins de l’émotion humaine. ».
Cet apprentissage algorithmique renforcé a permis à Artprice de créer des modèles d’IA/AI uniques au monde, propres au Marché de l’Art, qui constitueront le relais de croissance 2025/2029 d’Artprice by Artmarket.
Ce n’est pas pour rien que 95 % des groupes du S&P500 prévoient de bâtir leurs croissances sur l’Intelligence Artificielle.
Il ressort des meilleurs analystes financiers anglo-saxons, qui ont un temps d’avance sur l’Europe sur ce sujet, que le seul modèle viable économiquement, sans mettre en péril l’entité économique, quelle que soit sa taille, par des attaques judiciaires incessantes, est une IA basée sur un segment économique extrêmement bien défini.
Ce segment économique de l’IA/AI repose sur cinq piliers de l’histoire de l’informatique : le Big Data, le Deep learning, le Data Mining, les algorithmes propriétaires et bien sûr un Core business basé sur la vente d’informations ultra-qualifiées avec une normalisation des datas de l’intégralité des process.
Cette information produite par Artprice by Artmarket joue un rôle capital et possède une pleine propriété intellectuelle de l’intégralité de ces cinq piliers, avec un droit d’auteur et des droits voisins confirmés sur l’intégralité des algorithmes, des banques de données, du Big Data, du machine learning (apprentissage profond) et des réseaux de neurones.
En synthèse, les IA/AI qui triompheront avec un gain économique très conséquent, sans risque industriel ou juridique, sont les entités économiques qui possèdent, en pleine propriété intellectuelle, l’intégralité des différents étages de l’IA propriétaire sur un segment de marché défini où l’information à haute valeur ajoutée, avec un coût élevé, est vitale. Et c’est exactement le cas de l’IA Intuitive Artmarket® développée par Artprice by Artmarket.com, Leader mondial de l’information sur le Marché de l’Art.
Déroulement du schéma directeur 2025 de l’IA Intuitive Artmarket®, après Blind Spot AI®, Artprice lance sa 3ème IA : « AIDB* Search Artist® », *Artificial Intelligence Data Bases.
Sur le schéma directeur 2025-2029, Artprice by Artmarket a prévu à terme une vingtaine d’IA spécifiques qui représentent chacune la somme des savoirs de chaque département d’Artprice :
économétrie & statistiques pour les indices sur le marché de l’art, biographies d’artistes, fonds documentaire de manuscrits & catalogues, bases de données, éditorial, Intranet auctioneers, agence de presse ArtMarketInsight, Rapports annuels sur le Marché de l’Art, IT, SGE (Search Generative Experience), Data Analyst & Scientist, R&D, marketing, customer service, multi-users & grands comptes, Place de Marché Normalisée, direction & création artistique, communication institutionnelle & financière, juridique, finance et direction ; soit à terme, potentiellement une IA spécifique à chacun des départements.
Une des approches d’Artprice, en matière d’IA, fut d’éviter la théorie des ensembles flous, qui est également connue sous le nom de «logique floue», qui est une méthode basée sur les « degrés de vérité » plutôt que sur le système habituel basé sur la logique booléenne 1 ou 0. Cela revient à rechercher, dans la logique booléenne, des sous-jacents inconnus mais pour autant incontestables.
Artprice a développé entre autres une approche singulière de son IA Intuitive Artmarket® qu’elle nomme « Blind Spot AI® ». Ce concept révolutionnaire en IA, dont Artprice est l’auteur, recherche « l’angle aveugle entre les données structurées ».
Dans l’histoire de l’Art, la correspondance de Blind Spot AI® est l’inframince qui est un concept esthétique et scientifique théorisé par Marcel Duchamp, désignant une différence ou un intervalle imperceptible, parfois seulement imaginable mais bien réel, entre deux phénomènes identifiés.
Cette théorie de Duchamp provient des travaux avec le célèbre mathématicien Henri Poincaré, auteur notamment de « La Science et l’Hypothèse » qui est un ouvrage sur l’importance des modèles dans la science. Il est plausible que cet ouvrage ait inspiré Einstein pour sa réflexion qui conduisit à l’article fondateur de la théorie de la relativité restreinte, publié en 1905.
En effet, chez les grands éditeurs mondiaux de banques de données, le droit à l’erreur ne peut pas exister et la relation de confiance établie avec les clients utilisateurs ne peut pas tolérer des données approximatives voire erronées.
Artprice est en train de démontrer qu’il est possible de faire des données inexplorées avec son IA propriétaire et son process «Blind Spot AI®» , sans entamer le capital confiance qui repose depuis 27 ans sur des données incontestables, fiables, exhaustives et pérennes, indispensables aux clients d’Artprice que sont les Experts, Auctioneers / Maisons de Ventes, Marchands d’Art, Galeristes, Institutionnels, Musées, Assurances, Private Banking, Finance, Gestion de Patrimoine et Collectionneurs.
Cette clientèle fidèle et récurrente d’Artprice ne tolère pas la moindre erreur, compte-tenu des enjeux financiers sur les œuvres d’art qui atteignent très vite des montants parfois considérables.
Dans son bêta-test de fin 2024, Artprice by Artmarket ramène la preuve qu’après avoir stabilisé la question de « l’alignement » (alignment problem) en une décennie – qui est essentielle pour mener à bien la genèse, puis la construction de son IA Intuitive Artmarket® – les données à haute valeur ajoutée, produites par son IA Intuitive Artmarket® respectent l’éthique, les valeurs, les attentes et les sensibilités humaines propres au groupe Artprice by Artmarket, à ses clients et aux règles intangibles et multicentenaires du Marché de l’Art.
Courant 2025, Artprice, avec son AIDB Search Artist® by Artprice, va permettre à ses 9,3 millions de clients et membres, de rechercher une œuvre via un service payant, à partir d’une photographie de ladite œuvre d’art, à l’instar de Google Lens, pour obtenir l’œuvre identique ou similaire sur Artprice, avec les données de l’artiste.
Cette application propriétaire d’Intelligence Artificielle d’Artprice, AIDB Search Artist®, repose sur 7 années de développement, prenant en compte les 210 millions d’images ou gravures d’œuvres d’Art (avec un noyau dur d’images tokenisées de 18 millions) de 1700 à nos jours du plus grand fonds au monde de manuscrits et catalogues de ventes du Marché de l’Art, véritable bibliothèque d’Alexandrie physique que possède Artprice by Artmarket annotée et analysée par ses historiens et experts.
Cette application AIDB Search Artist® by Artprice n’a pu se concevoir qu’en ayant la maîtrise intégrale de la totalité des process et droits d’auteur, avec un apprentissage manuel, les premières années par les spécialistes d’Artprice pour entraîner une application de deep learning, permettant une recherche sur une œuvre d’art, qu’aucune autre société spécialisée n’a réussi à réaliser à ce jour.
En effet, la trentaine de sociétés, qui se sont confrontées à cet exercice, l’ont limité à leurs contenus non exhaustif où les Benchmarks ne dépassaient rarement les 20 000 artistes, là où Artprice en recense 861 000. De plus, dans de nombreux cas, les droits de reproduction des artistes n’étaient pas honorés.
Dans le cadre de la propriété intellectuelle, trop souvent absente de l’IA – voire victime de violation de ce droit – Artprice rémunère les droits de reproduction des artistes qu’elle référence à travers 54 sociétés de droits d’auteur de pays différents.
Une quatrième IA reposera sur la reconnaissance et l’expertise des signatures et monogrammes d’artistes du IVème siècle à nos jours : AIDB signatures & monograms® by Artprice.
Elle a son apprentissage sur les trois plus grandes banques de données mondiales de signatures et monogrammes, acquises par Artprice depuis 28 ans, comme Caplan & Creps (USA), Sound View Press (USA), Editions Van Wilder (Europe), Enrique Mayer (Suisse) [voir document de référence Artmarket.com].
Déroulement du schéma directeur 2025 de l’IA Intuitive Artmarket®, concernant les investissements dans le Project DIGITS de Nvidia
Artprice by Artmarket a pleinement approuvé le concept technologique et la solution juridique qui en découle du Project DIGITS de Nvidia.
En effet, ce boîtier dans un format compact et économe en énergie permet une véritable révolution. Il donnera la capacité à Artprice d’équiper d’un Project DIGITS, chacun de ses collaborateurs(rices), dans le cadre de la production, du savoir et de l’expertise. L’ensemble sera connecté exclusivement sur l’Intranet du groupe en réseau DMZ.
Avec Project DIGITS, les utilisateurs peuvent développer et exécuter des inférences sur des modèles à l’aide de leur propre système de bureau, puis déployer de manière transparente les modèles sur une infrastructure cloud ou de data center propriétés exclusives d’Artprice.
« L’IA sera omniprésente dans toutes les applications et dans tous les secteurs. Avec le Project DIGITS, la superpuce Grace Blackwell sera accessible à des millions de développeurs », a déclaré Jensen Huang, fondateur et CEO de NVIDIA. « Placer un supercalculateur d’IA sur le bureau de chaque data scientist, chercheur en IA et collaborateur leur permet de s’engager et de façonner l’ère de l’IA. »
De même, toutes les data générées par les nombreuses IA propriétaires d’Artprice ne seront générées qu’à partir de ces 180 banques de données propriétaires, ce qui limite singulièrement le phénomène d’« hallucination » propre à l’IA. Enfin, la maîtrise des biais méthodologiques est bien mieux gérée, car l’ensemble des chaînes de calculs et réflexion repose intégralement sur les banques de données Artprice et son Intranet mondial qui le relie aux 7200 Maisons de Ventes partenaires depuis 28 ans.
Selon l’analyse d’Artprice, le Project DIGITS de Nvidia repose sur une innovation singulière : la puce GB10 Grace Blackwell. Le résultat donne une puissance de calcul atteignant 1 petaflop, soit l’équivalent de 1000 opérations par seconde en précision FP4. Enfin, sa véritable force demeure dans sa capacité à faire tourner des modèles d’IA jusqu’à 200 milliards de paramètres – une performance qui monte à 405 milliards lorsque deux unités sont connectées ensemble.
L’appareil est livré avec le système d’exploitation Nvidia DGX OS basé sur Linux.
Artprice by Artmarket, depuis son origine, a développé l’intégralité de ses infrastructures et banques de données sous Linux et possède ainsi une maîtrise parfaite du Kernel Linux pour intégrer à chaque collaborateur Artprice, quelle que soit sa fonction, une Project DIGITS.
Selon Artprice, cette stratégie ne peut qu’être gagnante. En proposant individuellement ce type d’équipement d’une puissance colossale à un prix compétitif, Nvidia répond au cahier des charges d’Artprice et confirme ainsi sa position de leader du calcul accéléré.
Artprice est confortée par son analyse de Deepseek-R1
Artprice by Artmarket veille et analyse tous les principaux LLM (Large Language Models), notamment ceux en Open Source.
Bien évidemment, Artprice analyse l’irruption en janvier 2025 de Deepseek R1 en Open Source – un modèle à pondération ouverte de 671 milliards de paramètres qui fonctionne de manière comparable à OpenAI, mais à un coup inférieur de 90 à 95 % – en distillant 6 modèles Llama et Qwen.
Poursuivant désormais ses travaux dans cette direction, DeepSeek a publié DeepSeek-R1, qui utilise une combinaison de RL et de réglage fin supervisé pour gérer des tâches de raisonnement complexes et égaler les performances de o1.
Lors des tests, DeepSeek-R1 a obtenu un score de 79,8 % aux tests de mathématiques AIME 2024 et de 97,3 % au MATH-500. Il a également obtenu une note de 2 029 sur Codeforces, soit mieux que 96,3 % des programmeurs humains. En revanche, o1-1217 a obtenu respectivement 79,2 %, 96,4 % et 96,6 % sur ces tests. Il a également démontré de solides connaissances générales, avec une précision de 90,8 % sur le MMLU, juste derrière les 91,8 % de o1.
Pour Artprice by Artmarket, en prenant en compte les débats agités et controversés autour de Deepseek, celui ci confirme les travaux et analyse d’Artprice sur les réels besoins mesurés pour son IA Intuitive Artmarket®.
Le paramètre décisif qui valide la performance de Deepseek est le lundi noir à Wall Street le 27 janvier 2025, qui a vu les valeurs technologiques américaines effacer plus de 1000 milliards de dollars de capitalisation boursière. Une grande partie de l’Occident a découvert avec surprise les modèles de langage de cette start-up, dont les performances s’alignent avec celles des leaders américains de l’IA (OpenAI, Anthropic, Meta), mais pour un coût infiniment moins cher à l’utilisation.
Dans cette journée rouge pour l’industrie de la tech, une entreprise s’en est mieux sortie que les autres : Apple. Son action a progressé de 3,18 %, alors que l’entreprise est aussi concernée par l’intelligence artificielle générative avec sa suite Apple Intelligence. Une des raisons de cette résistance est que les travaux de DeepSeek valident plusieurs pistes choisies par Apple.
Pour le groupe Artprice, la maîtrise des coûts énergétiques de l’IA est une réalité dont pourrait s’inspirer le monde des grands éditeurs de banques de données verticales dont elle fait partie.
La vision d’Apple Intelligence renforce les convictions d’Artprice
Une certaine similitude de ce raisonnement est aussi tenu par Apple Intelligence où Tim Cooks, CEO d’Apple, a parfaitement compris que ses clients sont avant tout des créateurs et des artistes qui veulent travailler sur leurs propres œuvres en évitant un pillage en règle par des tiers. La traduction chez Artprice l’a mené à équiper les collaborateurs du département direction artistique de la puce M4 équipée du Neural Engine d’Apple dans l’attente de la Puce IA/AI d’Apple, développée avec Broadcom connue avec le code Baltra.
Artprice analyse le Peak Data et livre son analyse sur l’écosystème d’Internet
Pour Artprice, l’avertissement d’Elon Musk qui a fait écho aux prédictions d’Ilya Sutskever, ancien chef scientifique d’OpenAI, qui dès 2022 alertait sur l’imminence du “peak data”, est une réalité bien concrète. Ce concept, emprunté à la théorie du pic pétrolier, suggère que la quantité de données de qualité disponibles pour l’entraînement des IA, principalement issues du web et de l’activité humaine en ligne, a atteint son maximum et commence à décliner.
Artprice considère que le Peak Data, le Slop et la destruction progressive des sites Internet gratuits constituent une menace pour l’écosystème d’Internet. De même, « l’autophagie », où l’IA se nourrit de l’IA, conduit à un effondrement des modèles, qui produisent des réponses d’abord de moins en moins originales et pertinentes puis finissant par n’avoir aucun sens, selon un article paru fin juillet 2024, dans la revue scientifique « Nature ».
Concrètement, avec l’utilisation de ce type de données appelées « données synthétiques » car générées par des machines, l’échantillon dans lequel piochent les modèles d’intelligence artificielle, pour fournir leurs réponses, perd en richesse.
L’analyse d’Eric Schmitt, ancien CEO de Google, valide le modèle économique d’Artprice pour l’IA.
Eric Schmitt dans une conférence à Stanford rejoint le raisonnement d’Artprice, où le modèle économique vertueux des IA ne pourra se faire que sur des modèles payants, du simple fait que les IA, ont besoin, pour leur entraînement, de données à haute valeur ajoutée qui sont protégées par les droits d’auteurs et droits voisins, ce qui est le Core Business d’Artprice depuis 28 ans.
De plus, l’ex-CEO de Google indique que le cash burn des IA est tel que le ROI (Return on Investment) aura besoin d’un modèle économique payant, les données de l’Internet gratuit étant épuisées par le peak data.
À propos de l’EU AI Act et de la propriété intellectuelle face à l’IA/AI mondiale
Selon Perplexity AI, la jurisprudence en matière de propriété intellectuelle liée à l’intelligence artificielle (IA) est encore en évolution, mais plusieurs principes clés émergent au niveau national et international.
L’IA Act protège les droits des auteurs face à l’utilisation de leurs œuvres par des systèmes d’IA générative grâce à plusieurs mesures clés :
– Obligation de transparence : Les fournisseurs d’IA générative doivent indiquer si les données utilisées pour entraîner leurs modèles sont protégées par le droit d’auteur. Ils doivent également fournir un résumé détaillé des œuvres protégées exploitées, conformément à l’article 28 ter de l’IA Act.
– Droit d’opposition (opt-out) : Les auteurs peuvent refuser l’utilisation de leurs œuvres pour l’entraînement des IA en exerçant leur droit d’opposition. Ce mécanisme est prévu par la directive européenne de 2019 sur le droit d’auteur et renforcé par l’IA Act, bien qu’il reste difficile à appliquer dans la pratique en raison du manque de contrôle sur les utilisations réelles des œuvres en ligne.
– Traçabilité et responsabilité : L’IA Act impose des exigences de traçabilité pour garantir que les développeurs d’IA informent les utilisateurs et les titulaires de droits sur l’origine des données utilisées, ce qui permet une meilleure gestion des droits et une transparence accrue.
– Encadrement juridique : Le règlement vise à équilibrer innovation et protection des auteurs en instaurant des mécanismes comme la gestion collective, qui facilite la consultation des autorisations et assure une rémunération équitable aux créateurs pour l’utilisation commerciale de leurs œuvres.
Ces dispositions visent à protéger les droits des auteurs tout en encourageant un usage éthique et transparent des technologies d’IA générative.
Selon Artprice, dans le cadre de l’AI Act de l’Europe, à l’instar de l’Office AI, le niveau national doit faire face à de nombreuses nouvelles obligations dans des délais parfois très courts. Au total, Artprice a identifié 88 responsabilités pour le niveau national sur lesquelles elle statue régulièrement dans ses conseils d’administration et par le contrôle interne.
Enfin, le Président Emmanuel Macron, durant ce sommet « On va continuer de défendre le droit d’auteur, les droits voisins. On va continuer de préserver la créativité humaine. L’IA va apporter des tas de révolutions, des tas de choses mais la créativité reste humaine. L’IA, c’est d’abord une véritable révolution technologique et scientifique pour le progrès et au service du progrès. Cette révolution doit se faire au service de l’humanité et donc pour vivre mieux. »
Comment l’explosion de l’intelligence artificielle perturbe-t-elle le monde actuel et notamment le Marché de l’Art ? Comment la mesurer face à la transition énergétique qui est aussi un enjeu majeur ?
Pour Thierry Ehrmann, Fondateur d’Artprice et PDG d’Artmarket.com :
« Nous vivons dans un monde où la puissance informatique double tous les six mois. La traditionnelle loi de Gordon Moore, Fondateur d’Intel [qui stipulait historiquement que le nombre de transistors sur une puce doublait tous les dix-huit mois à prix égal] a été dépassée par de nouvelles lois de mise à l’échelle. Désormais, l’accélération de l’IA générative pourrait se mesurer par une formule que je pressens en « token (actif numérique) par Euro et par watt », c’est-à-dire une nouvelle unité de mesure correspondant à la manière dont l’IA traite une demande d’information, en tenant compte de chaque euro dépensé et de chaque watt réellement consommé.
Nous sommes certains qu’il est dangereux, pour les éditeurs de LLM, d’ignorer l’impact carbone. C’est tout simplement démesuré. Deepseek R1 mais aussi ces derniers jours toute une série de chercheurs du monde anglo-saxon confirment qu’il est possible de concevoir des LLM avec des serveurs beaucoup plus frugaux. Il est étrange, qu’en pleine transition énergétique, ce sujet soit éludé.
Il ne faut pas oublier avec humilité que le réseau cérébral du langage commence à être bien imité par l’IA, alors que celui des mathématiques et de la géométrie reste en grande partie incompris.
Par ailleurs, vu comme un circuit intégré, le cerveau humain, au regard de la science, est à ce jour inimitable.
Même si l’on commence à comprendre ses algorithmes et à les reproduire dans des serveurs à très haute capacité possédant plusieurs centaines de milliards de paramètres, on n’arrive toujours pas à le reproduire avec la même efficacité énergétique. Là où le cerveau humain pèse 1,4kg et fonctionne avec 30 watts seulement, les géants de l’IA aux USA font la course aux centrales nucléaires et aux gigantesques barrages… En effet, Microsoft relance la centrale nucléaire de Three Mile Island dans l’état de Pennsylvanie aux USA. Pour autant, le cerveau humain, avec sa capacité d’imagination et de créativité reste indétrônable par l’unité de mesure de l’IA qu’est le « token par Euro et par watt ».
Selon Thierry Ehrmann, Fondateur d’Artprice & du Groupe Serveur et Président d’Artmarket.com, la ligne de conduite du Groupe pour son IA est très simple :
« Il ne peut pas y avoir d’intelligence artificielle sans l’intelligence humaine ». Cette citation souligne l’importance que le groupe accorde à l’interaction entre l’intelligence humaine et l’intelligence artificielle, dans le développement de sa propre IA, nommée Intuitive Artmarket®. « Cette philosophie est au sein de notre groupe quand nous avons démarré les prémices de l’IA en 1987, avec les algorithmes de reconnaissance de formes, qui étaient au cœur des stations Lumière® (images de synthèse artificielle), que le Groupe Serveur a conçus, qui reposaient sur des techniques avancées comme le rendu 3D, la simulation lumière-matière, la modélisation vectorielle et le mode raster. »
Analyse de Perplexity AI par Artprice et Groupe Serveur
Toutes les dizaines de sujets et études abordés depuis de nombreuses années par Artprice sur l’IA/AI ainsi que l’historique du développement de son IA Intuitive Artmarket®, Blind Spot AI® en tant concept révolutionnaire en IA, dont Artprice est l’auteur, sont disponible sur : https://www.perplexity.ai/
Le Groupe Serveur, principal actionnaire d’Artprice, qui fut à l’origine du premier moteur de recherche en Linux en France Netscan dans les années 90, considère, par son expertise de plus de 38 ans, que Perplexity AI a émergé comme la meilleure solution à ce jour sur la scène de l’intelligence artificielle, comme moteur de recherche et de chatbot sophistiqué. C’est en combinant ces deux rôles qu’il facilite une compréhension approfondie du langage naturel.
Aravind Srinivas, Fondateur principal et CEO de Perplexity, qu’il a co-fondée avec Denis Yarats, Johnny Ho, Andy Konwinski, par leurs cursus respectifs d’experts en IA et IT, ont réussi à émerger et devenir un potentiel concurrent pour Google. En 2025, les chercheurs du Web profond (Deep Web) en font d’ailleurs leur principal outil de travail.
L’initiative derrière Perplexity AI a motivé le développement d’un moteur conversationnel qui peut répondre à diverses questions en temps réel. Cela lui donne, selon Artprice et Groupe Serveur, un avantage compétitif indéniable dans le domaine de l’IA, en respectant scrupuleusement les droits d’auteur et droits voisins en affichant ses sources.
En investissant dans des avancées techniques, Perplexity AI a bâti une architecture qui utilise des approches neuronales modernes. Cela permet une meilleure interprétation et gestion des tâches complexes liées au langage. La communauté des professionnels des moteurs de recherche tels que les consultants SEO, les référenceurs web et les creative netlinkers qui travaillent avec les algorithmes des moteurs de recherche se prononcent majoritairement en faveur de Perplexity AI selon les avis recueillis par Artprice et Groupe Serveur en janvier 2025.