Paris, le 22 septembre 2025 – Flightright, l’un des leaders de l’indemnisation des passagers aériens, célèbre quinze ans de combat pour les voyageurs. Depuis 2010, l’entreprise a fait valoir les droits de 12 millions de passagers et obtenu plus de 700 millions d’euros de compensations auprès des transporteurs. En remportant des décisions de justice devenues des références, elle a contribué à faire évoluer la jurisprudence européenne et à renforcer la protection des usagers du transport aérien. Son moteur : rendre l’indemnisation accessible à tous, sans frais initiaux, et rétablir l’équilibre entre passagers et compagnies.
De l’injustice à la jurisprudence
En 2010, Flightright naît pour combler un écart criant entre un droit européen consacré par le règlement CE 261/2004 et une réalité rarement favorable aux passagers. Les compagnies aériennes misaient sur la complexité des démarches, la méconnaissance des procédures et la dissuasion par le temps.
Quinze ans plus tard, le paysage a changé. Flightright a accompagné 12 millions de passagers et obtenu plus de 700 millions d’euros d’indemnisations. Derrière ces chiffres, des victoires judiciaires qui ont façonné la jurisprudence européenne, renforçant un droit longtemps ignoré. Aujourd’hui, plus de 98 % des réclamations défendues par Flightright devant les tribunaux aboutissent. Le voyageur informé, guidé et soutenu n’est plus un figurant, mais un acteur capable de faire respecter ses droits.
L’avantage Flightright
Ce succès repose sur trois éléments clés rarement réunis dans la défense des droits des usagers aériens. La fluidité d’un accompagnement 100 % digital, qui simplifie chaque étape pour le passager. La rigueur d’une expertise juridique interne capable de créer ses propres précédents. Et la liberté offerte par une prise en charge intégrale des procédures, sans frais avancés. Des atouts auxquels s’ajoutent une veille constante du droit aérien européen et la capacité à mutualiser les dossiers pour créer un effet de masse.
Trois épisodes judiciaires ont particulièrement marqué les esprits. En 2018, la CJUE rappelle (arrêt C-532/17) qu’en cas de vol opéré en wet lease, c’est la compagnie qui vend le billet – et non celle qui affrète l’appareil – qui reste responsable de l’indemnisation. Quatre ans plus tard, dans l’affaire Flightright contre American Airlines (C‑436/21), elle élargit la portée du règlement européen : un vol partiellement opéré hors UE peut lui aussi donner lieu à indemnisation. Plus récemment, un autre arrêt (C-510/21) précise que le délai de prescription ne commence pas au départ, mais à l’heure d’arrivée prévue – une nuance capitale pour garantir aux passagers le plein exercice de leurs droits. Ces décisions, parmi d’autres, ont renforcé un socle juridique protecteur malgré les tentatives répétées d’affaiblir le cadre européen.
Un cap clair dans un ciel qui change
Si l’évolution du cadre réglementaire européen laisse entrevoir un basculement subtil du rapport de force vers les transporteurs, Flightright aborde cette nouvelle ère avec les atouts qui ont fait sa légitimité. Un ancrage européen solide, fort de 150 collaborateurs sur quatre sites (Berlin, Paris, Copenhague, Barcelone et Budapest). Une expertise juridique parmi les plus affûtées du marché et une capacité éprouvée à faire de chaque évolution du secteur aérien un levier concret pour les passagers. Portée par une croissance à deux chiffres depuis plus de dix ans, l’entreprise poursuit son avance en développant notamment de nouveaux services digitaux sur mesure, conçus pour rendre la protection des usagers toujours plus simple, rapide et efficace. Tous les voyants sont au vert pour faire respecter les droits des voyageurs, pour tous, partout.
« Depuis quinze ans, nous accomplissons ce qui semblait impossible : faire entendre la voix des passagers face aux compagnies. Tant que retards, annulations ou refus d’indemnisation existeront, nous serons là, pleinement engagés. » – Jan-Frederik Arnold, CEO de Flightright
À propos de Flightright
Flightright est l’un des leaders européens de l’indemnisation des passagers victimes de perturbations aériennes. En cas de retard de vol, d’annulation et de refus d’embarquement, Flightright s’appuie sur l’application du règlement 261/2004 de l’Union Européenne afin de permettre aux passagers d’obtenir une indemnisation et/ou un remboursement des compagnies aériennes. Flightright a déjà obtenu plus de 700 millions d’euros d’indemnisation pour ses clients.