jeu. Nov 21st, 2024

78 % pensent que le no-code est une excellente solution pour leur business

Pour 63 % des entreprises le métier de développeur n’est pas en danger avec le no-code

 

Ksaar, acteur français majeur de la création de logiciel no-code, dévoile les résultats d’une enquête menée auprès de 4 263 entreprises françaises (indépendants, TPE, PME, ETI et GE) afin de mieux connaître leur opinion sur l’utilisation d’applications et de logiciels métiers génériques ou en no-code.

Lien officiel : www.ksaar.com 

 

 

 

Un fort besoin de spécificités

Les logiciels ou applications prêts à l’emploi sont bien loin de faire l’unanimité auprès des entreprises françaises. En effet, plus de 81 % avouent qu’elles auraient besoin de solutions personnalisées pour coller parfaitement à leur activité. Seulement 17 % considèrent que les applications existantes suffisent largement.

 

Pour votre activité, auriez-vous besoin d’une ou de plusieurs applications spécifiques et personnalisées ?

Réponses

Pourcentages

Oui, absolument

81 %

Non, nous pouvons utiliser des applications existantes

17 %

Je ne sais pas

2 %

 

 

 

Oui au no-code !

L’avènement des solutions no-code semble être une solution de plus en plus séduisante pour les entreprises. Ainsi, 78 % déclarent que l’utilisation d’applications sans connaissances de la programmation est une excellente solution pour leur activité. De leur côté, 11 % estiment que le no-code ne peut pas être efficace pour leur business et 9 % éprouvent des difficultés à se projeter.

 

Que pensez-vous de la création d’outils ou d’applications en no-code, c’est-à-dire avec un mode de développement sans connaissances de la programmation avec des fonctionnalités préconstruites ?

Réponses

Pourcentages

C’est une excellente solution pour mon activité

78 %

Cela me semble difficile pour mon activité

9 %

Je ne pense pas que cela soit efficace pour mon activité

11 %

Je ne sais pas

2 %

 

  

 

Des applications no-code trop simples ?  

Pour ce qui est de la possibilité de réaliser des applications complexes avec un outil no-code, les avis sont plus partagés. En effet, si 38 % des entreprises françaises pensent que cela est tout-à-fait possible, 35 % estiment que la complexité est limitée et 27 % que cela n’est pas encore envisageable.

 

Selon vous, est-il possible de réaliser des applications complexes avec un outil no-code ?

Réponses

Pourcentages

Oui, absolument

38 %

Oui mais avec certaines limites

35 %

Non ce n’est pas encore possible

27 %

 

 

  

Classement TOP et FLOP du no-code

Parmi tous les atouts du no-code susceptibles de séduire les entreprises, trois arrivent clairement en tête : 63 % aiment la simplicité de développement, 59 % les coûts de développement beaucoup plus faibles et 57 % la possibilité de personnaliser la programmation.

 

Quels sont les 3 atouts qui vous séduisent le plus dans le no-code ?

Réponses

Pourcentages

La simplicité de développement

63 %

La réduction des coûts de développement

59 %

La personnalisation du développement

57 %

La rapidité de développement

53 %

L’interopérabilité avec d’autres outils et solutions

51 %

La maîtrise du développement

48 %

L’évolutivité des applications

41 %

La gestion en mode open-source

36 %

La communauté

24 %

 

 

En ce qui concerne les aspects négatifs du no-code, ce sont les limites liées à l’hébergement, la sécurité et la confidentialité qui gênent en premier lieu 68 % des entreprises. A la deuxième place des freins, 61 % pointent du doigt les limites de fonctionnalités proposées, puis en troisième lieu les limites de personnalisation à plus de 58 %.

 

Quels sont les 3 facteurs qui vous freinent le plus dans le no-code ?

Réponses

Pourcentages

Les limites liées à l’hébergement, la sécurité et la confidentialité

68 %

Les limites de fonctionnalités

61 %

Les limites de personnalisation

58 %

L’absence de solutions no-code connues

56 %

Les limites de développement

48 %

Le manque de collaboration

41 %

La dépendance d’un outil éditeur non-propriétaire

37 %

Le manque de preuve des outils

35 %

Le manque de versionning

31 %

Le manque d’interopérabilité avec d’autres outils et solutions

30 %

La communauté

29 %

 

 

 

Les développeurs en danger ?

Bien loin d’être une espèce en voie de disparItion, les développeurs informatiques ont encore de beaux jours devant eux ! En effet, à la question « pensez-vous qu’avec le no-code, le métier de développeur va disparaître dans les prochaines années ? », 63 % des entreprises interrogées répondent « non » et 23 % « oui, mais qu’ils seront utiles pour coder des applications plus complexes. Seulement 11 % pensent que le succès du no-code est préjudiciable à l’avenir des développeurs.

 

Pensez-vous qu’avec le no-code, le métier de développeur va disparaître dans les prochaines années ?

Réponses

Pourcentages

Non, ils seront toujours utiles pour combler les lacunes du no-code

63 %

Oui, mais ils seront utiles pour coder des applications plus complexes

23 %

Oui, ils ne seront plus utiles pour le codage

11 %

 

 

 

Des logiciels sur étagère peu performants

Si une grande majorité des entreprises utilise aujourd’hui des logiciels et des applications non personnalisés, la satisfaction n’est pas vraiment au rendez-vous. Ainsi, seulement 26 % déclarent que ces outils clés en main sont parfaits quand 36 % les trouvent encore perfectibles et 38 % totalement imparfaits.

 

Êtes-vous satisfaits des logiciels que vous utilisez pour votre activité ? Sont-ils assez personnalisés ? Sont-ils assez puissants ?  

Réponses

Pourcentages

Oui, ils sont parfaits

26 %

Oui, mais ils ne sont pas parfaits

36 %

Non, ils sont imparfaits

38 %

 

 

*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 4 263 professionnels, âgés de 18 ans et plus, répartis sur l’ensemble du territoire français, effectuée en ligne, sur le panel propriétaire BuzzPress France (27 000 personnes en France).

Entre le 3 et le 10 janvier 2023, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn.

Profils des personnes interrogées : 39 % d’employés, 38 % de managers et 23 % de dirigeants.

Profils des entreprises : 3 % d’indépendants, 27 % de TPE, 68 % au sein de PME et 2 % au sein d’ETI et GE. 

Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l’échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée.

Toutes les pondérations s’appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.

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