mer. Déc 18th, 2024
Dans ce contexte global de favorisation de la QVT au bureau et de forte concurrence sur le marché du recrutement, les entreprises ont ainsi tout à gagner à adopter une stratégie mêlant épanouissement au travail et performance d’entreprise. Et les animaux de compagnie apparaissent de plus en plus au cœur de cette stratégie de promotion du bien être au travail !
Et bien que ce phénomène soit encore moins répendu que chez notre voisin anglo-saxon, elles sont de plus en plus nombreuses à laisser la possibilité à leurs collaborateurs de venir avec leurs animaux, et notamment leurs chiens.

 

Avoir son animal au bureau : un levier de motivation et donc de productivité 

Alors que seulement 7% des entreprises françaises autoriseraient leurs collaborateurs à amener leur chien au bureau d’après le baromètre « Les chiens et les Français » mené par l’institut CSA ; un rapport 2019 de l’Université de Lincoln souligne le fait que les employés accompagnés de leur chien sur leur lieu de travail seraient 22% plus satisfaits de leurs conditions de travail. 

En effet, bien plus qu’une tendance, amener son animal au travail représenterait un réel atout pour la santé mentale et la QVT. Cela permettrait notamment de réduire drastiquement le stress et de favoriser les liens entre les collaborateurs. Des chiens sont même parfois nommés Chief Happiness Officer, chargés du bonheur des salariés !

Chez M2DG, acteur spécialisé en bureaux d’entreprise clé-en-main, les animaux sont parties prenantes de la vie de l’entreprise : ils ont entièrement leur place sur le lieu de travail. Initialement dans le but d’arranger les maîtres qui avaient des difficultés en termes de garde, cette décision s’est finalement traduite par un réel enthousiasme des équipes. Véritables mascottes, les salles de réunion ont été renommées en hommage à ces animaux fétiches, et ceux-ci sont aussi mis en avant sur certaines communications du groupe, sur les réseaux sociaux notamment. 
 

Mais cette pratique doit cependant rester réglementée, pour garantir le bien-être de tous. La condition principale est que l’ensemble des collaborateurs de l’open space soient d’accord (certains peuvent présenter des allergies ou des peurs spécifiques); les maîtres doivent sonder leurs collègues en amont. Il faut par ailleurs qu’il y ait un endroit fermé dédié à l’animal en cas de besoin, pour que celui-ci ne perturbe pas l’open space. Enfin, il existe aussi des indispensables comportementaux et assurantiels : l’animal doit bénéficier d’une assurance, il doit être bien dressé pour ne pas détériorer le matériel et les infrastructures, et être à jour dans ses vaccins.

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