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Zei lève 2 millions d’euros pour accélérer la transparence des engagements des entreprises en faveur de la transition écologique et sociale.

Zei, première plateforme d’accompagnement des entreprises dans l’amélioration et la valorisation de leurs impacts environnementaux et sociétaux, lève aujourd’hui 2 millions d’euros auprès de Bpifrance, Founders Future, Myriam Maestroni et ses investisseurs historiques. Cette levée de fonds s’inscrit dans la perspective de développement de Zei de faire de l’impact positif un engagement pour chaque entreprise.

 

Zei : une solution pour accélérer l’engagement des entreprises

Lancée en 2016, Zei permet aux entreprises d’accélérer leur impact sur l’environnement et la société en les aidant à évaluer leur impact, suivre leur démarche d’amélioration et valoriser leurs actions auprès de leurs clients et parties prenantes. Zei a développé un outil innovant qui définit pour chaque entreprise une feuille de route comportant ses enjeux et critères prioritaires en fonction de son secteur, sa taille et ses principales caractéristiques ainsi que de suivre la progression de chacun d’entre eux dans le temps. Une fois le diagnostic établi, les entreprises accèdent à un catalogue de plus de 800 innovations et alternatives pour progresser sur chacun de leurs enjeux. Elles peuvent ensuite partager leur profil pour communiquer leur progression, leurs objectifs et les échéances en toute transparence, voire apparaître dans les classements sectoriels pour faire de leur RSE un véritable levier de différenciation.

Une levée de fonds qui promet de placer l’impact positif au 1er plan

Dans un contexte où les entreprises ont le devoir de mettre en place une politique RSE efficace et durable, cette levée de fonds va permettre à Zei d’accélérer son développement technologique pour intégrer davantage d’entreprises à la plateforme, valoriser les profils d’entreprises au grand public et guider les consommateurs et investisseurs vers les entreprises les plus engagées.
Dans cette perspective, elles pourront considérablement améliorer leur impact pour avoir non seulement un effet positif sur la société mais également pour que leur démarche d’impact positif soit leur meilleur levier de compétitivité.

 

Des perspectives d’avenir ambitieuses en faveur du changement

Précurseur sur le marché de l’impact, la société a déjà pu tester son business model et la robustesse de sa plateforme avec 1800 entreprises inscrites allant de la start-up au grand groupe (Marcel, Privateaser, Greenweez, ParisVolley, Ynsect) et répondant à des problématiques sectorielles diverses. Pour l’année à venir, Zei compte également développer son offre auprès des fonds d’investissements et réseaux d’entreprises à l’instar de sa collaboration avec France Digital. De nouveaux partenariats stratégiques sont également prévus afin de relayer les scores impact des entreprises plus largement encore.

« Zei est un projet ambitieux : nous voulons transformer la société de manière structurelle en influençant à la fois l’offre (ce que proposent les entreprises) et la demande (les marques choisies par les consommateurs) : ce qui est pour Zei le meilleur moyen d’accélérer la transition environnementale et sociale en utilisant les règles du marché. Cette levée de fonds va nous d’accroître notre développement pour élargir notre périmètre d’action et répondre le plus vite possible aux urgences écologiques. », déclare Noël Bauza, fondateur de Zei.

« La transition écologique des entreprises est un sujet au cœur du plan d’action de Bpifrance. Nous sommes ravis d’accompagner Zei dans ses projets de croissance et pousser la démarche d’impact positif auprès des entreprises » ajoute Edouard Combette, Directeur d’investissement chez Bpifrance Valentine Baudouin, Partner de Founders Future, déclare quant à elle : « Zei s’inscrit parfaitement dans la volonté de Founders Future d’accompagner et de financer des entreprises qui intègrent l’impact positif au cœur de leur activité. Nous avons été très impressionnés par l’excellence de l’équipe et sa vision dans un secteur qui ne demande qu’à être digitalisé »

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